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Dans les premières lignes de son ouvrage publié en 1941 à Montréal, " Art et catholicisme ", le dominicain s'interroge sur le bien-fondé et même l'intérêt de ces pages qu'il juge déjà dépassées, sinon vaines, en des temps aussi désastreux. Le père Couturier n'était pas écrivain, il le devint par obligation. On jugera au fil de ces pages écrites dans un style exemplaire de la nécessité de ce qu'il avait à dire. La seconde partie de l'ouvrage est constituée de chroniques rédigées sur le continent américain pendant la Guerre : le père Couturier ne réservait ni sa lucidité, ni son acuité à l'art sacré ; on y découvre un homme sensible qui s'engage selon des convictions profondes. Quand le père Couturier s'est lancé dans la défense de l'art sacré, l'Église n'avait pas seulement perdu le monde ouvrier, elle avait aussi perdu les artistes. Dans sa lettre préface, le père Kim En Joong, qui trois générations plus tard œuvre dans le même esprit, dit sa conviction de voir le père Couturier – dont le " seul souci était de sauver des âmes au moyen de la beauté suprême " – " béatifié, pour avoir ouvert un nouvel apostolat ".